Et oui … Rendez vous tant attendu le salon du livre s’est installé au parc des expositions de Versailles Hall 1.
La petite nouveauté c’est qu’il ne s’appelle plus Salon du Livre mais Livre Paris. Livre Paris cela fait un peu bizarre … Lire à Paris ou les livres font salon, c’eut été mieux non ? … Bref, ce n’est pas grave le salon du livre (pardon Livre Paris) a débuté le 17 mars et fermera ses portes le 20 mars 2016.
Sur internet, le truc plutôt sympathique c’est qu’en y allant à 2 – ils proposent l’entrée duo (du coup, un peu moins cher par personne). Cette année, j’y suis allé avec une pote tout aussi passionnée de livres que moi.
Bien entendu, il y a les plus grands éditeurs : Gallimard, Flammarion, Le Seuil, Actes Sud et j’en passe. J’ai trouvé que la part belle était donné aux livres Jeunesse – plus présents que l’année dernière.
Beaucoup de dédicaces évidemment – pour ne citer que lui Riad Sattouf : allez 1 heure d’attente ! Dingue … Ce que nous avons aimé c’est qu’il prenne le temps de faire un dessin, de faire une vrai dédicace – et pas juste d’apposer une signature, de sourire et au revoir (mais il n’est certainement pas le seul à prendre le temps) ! Nous n’avons pas eu le courage d’attendre, j’avoue !!
Un vrai espace sur l’art culinaire qui s’appelle d’ailleurs : Square culinaire et des éditions spécialisées dans le bien-être – là j’ai tout de suite pensé à notre brunette Hélène.
Ce que l’on trouve également, ce sont des livres audio, des livres numériques . Pour ma part, je n’arrive pas à me faire aux liseuses. J’ai besoin du toucher du papier – de m’imprégner de l’odeur du livre. Ayant quasiment grandie dans une bibliothèque, je ne retrouve absolument pas le même plaisir. Ceci dit, je suis d’accord, pouvoir emporter dans sa poche ou son sac Guerre & Paix en version numérique ce n’est pas négligeable non plus.
Mes choix fort variés :
– Science-fiction – j’adore !
– Roman alliant fiction et histoire de l’art, en clin d’oeil au Louvre de Lens
– Les nuits parisiennes du 18 au 21ème siècle (sujet qui me passionne) et dont l’auteur Antoine de Baecque, professeur d’histoire du cinéma, également journaliste, m’apportera sûrement un éclairage fort documenté sur la question.
– Le petit prince – que l’on ne présente plus et que j’avais promis d’acheter à ma fille.
